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LE PÉCHÉ
Afin de comprendre la bonne nouvelle qui explique comment la relation entre Dieu et l'homme doit être restaurée, il faut d'abord comprendre comment cette relation est rompue.
La parole de Dieu nous apprend ceci :
Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.
Nous qui étions morts par nos offenses . . . .
Dieu est saint (spirituellement pur) et l'homme est pécheur (spirituellement
impur). Exactement comme une personne physiquement saine ne pourrait tolérer
la présence d'un animal mort, en putréfaction, de même
un Dieu parfait et saint ne peut pas permettre en Sa présence un
homme pécheur et imparfait. L'homme est mort dans ses péchés.
SÉPARATION D'AVEC DIEU
Le résultat du péché est clair :
Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu.
LE PÉCHÉ CRÉE UNE BARRIÈRE QUI SÉPARE L'HOMME DE DIEU
Dieu est à la fois saint (spirituellement pur) et infini. Il
est donc infiniment saint. En conséquence, même le plus petit
péché est infiniment offensant pour Lui. La Bible nous apprend
donc, que même le plus petit péché est suffisant pour
séparer éternellement l'homme de Dieu. Dieu ne peut tolérer
le péché en sa présence.
LES EFFORTS DE L'HOMME SONT INUTILES
L'homme a toujours cherché un moyen de traverser la barrière qui le sépare de Dieu. Il a essayé de la percer par le baptême, les bonnes oeuvres , l'amour du prochain, les sacrements, ou en se joignant à une église ou à une religion, etc. Mais la Bible nous apprend qu'aucune œuvre de l'homme pécheur ne pourra jamais démolir la barrière du péché qui sépare le Dieu saint de l'homme pécheur.
La Bible dit :
Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé.
Essayer d'effacer ou de laver nos péchés par nos bonnes
oeuvres est aussi désespérant que d'essayer de laver un visage
sale avec un chiffon dégoûtant. Il n'y a absolument rien que
l'homme puisse faire pour effacer ses péchés et traverser
la barrière qui le sépare de Dieu. (Voir Aggée 2 :12-14
; Luc 18 :10-14 ; Romains 3 :20, 3 :27-28, 4 :5 ; Galates 3 :10-11,21).
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